Il était une fois un livre #302 : Le loup

Pourquoi le loup a-t-il toujours le mauvais rôle dans les contes ? Dans ce livre, le loup est sans agressivité. Un parallèle est même fait entre la relation louve et louveteau, et celle mère et enfant.

Et si je commençais par vous raconter cette histoire. C’est l’automne, un jeune garçon se balade en forêt. Il y ramasse des trésors tels pomme de pin, feuilles, châtaignes… Et puis, il distingue des bruits : un lapin à l’affût, un chevreuil qui bondit… et un loup qui s’approche discrètement. L’enfant n’ose bouger. Il est ébahi de voir de si près cet animal. Un peu à l’écart, ce sont deux louveteaux qui attendent.

La mère de l’enfant l’appelle, il est temps de rentrer, la nuit tombe. Il n’oubliera jamais cette rencontre.

« Inquiet, le petit garçon repensera longuement à cette louve et ses petits. Il comprend que ces louveteaux fragiles et innocents ont besoin de leur maman, tout comme il a besoin de la sienne. »

Les illustrations au crayon sont magnifiques. Et je crois me souvenir que c’est le premier livre édité de cette autrice et illustratrice. Le loup est un livre de Cécilia Fernandes publié chez L’âge d’homme.

Bon, honnêtement je me retrouverais nez à museau avec un loup comme ce petit garçon, je ne serais vraiment pas assurée. Et vous ?

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