Retour sur le Festival Off d’Avignon (84)

Presque 60 ans d’existence pour le festival Off d’Avignon, moins pour moi quand même 😉 et je n’avais jamais pris part à cet évènement.

1600 spectacles proposés pendant un peu plus de deux semaines (le festival a été écourté cette année), il y a quand même des possibilités d’en profiter. Un mercredi, nous avons donc rejoint Avignon pour deux spectacles en famille. Et si j’en parle, bien que le festival soit terminé, c’est que : premièrement, cela pourrait vous donner une idée de sortie en famille pour l’an prochain ; deuxièmement, les spectacles présentés en Avignon seront sûrement programmés dans des salles en France ou même en Europe dès septembre.

J’avais fait des réservations à l’avance, grâce au programme enfants, vraiment bien fait (je le partage quand même ici). Les spectacles sont classés par âge, puis par horaire. C’est donc presque facile de planifier sa journée. Je dis presque, parce qu’il faut faire des choix parmi la profusion de pièces de théâtre, spectacles musicaux, de marionnettes, de danse… Et puis, repérer les lieux pour voir la distance à parcourir. Je n’avais jamais remarqué tous les théâtres qui existaient en Avignon !

Nous avons donc vu Pillowgraphies, un spectacle de danse. Dans le noir, des fantômes éclairés par une lumière bleue effectue une chorégraphie. C’est vraiment bluffant. Les danseurs semblent flotter au dessus du sol, sous leur drap blanc de spectre. J’ai même cru qu’ils avaient des rollers aux pieds. C’est aussi drôle par moment. Et puis soudain, on découvre le travail des danseurs à la lumière. Vraiment très original comme spectacle ! Seul bémol : les enfants ont trouvé un ou deux passages un peu long.

Ensuite, nous sommes allés voir la pièce de théâtre Le monde selon Albert Einstein. Une seule comédienne pour jouer le rôle d’Albert à l’âge de 10 ans, mais aussi imiter sa mère, son père, sa soeur, son professeur… Adapté du livre de Brigitte Kernel du même titre, cette pièce fait passer des messages d’espoir, de confiance en soi, de tolérance. Car Albert, petit, est considéré comme cancre (par son professeur), trop-doué (par son grand-père), autiste (par une psychologue), dyslexique… et rêveur. Et il deviendra l’un des plus grands scientifiques de l’histoire.

A refaire l’an prochain ! Qui est partant ?

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