Nous découvrons depuis quelques années la plantation, la récolte et la taille de cultures locales. A la maison, grâce à notre jardin, mais aussi grâce à une sorte d’entraide. Faire la cueillette des kiwis chez un agriculteur bio de l’AMAP, celle des olives chez les cousins et maintenant tailler les vignes chez des amis. Nous arrivons à chaque fois novices (tous les membres de la famille, petits et grands), mais volontaires (tant qu’il ne faut pas se lever trop tôt ;). Et c’est à chaque fois une découverte et un chouette moment partagé dans la nature.
Pour la taille des vignes, elle se fait en février et mars. Elle consiste éliminer certains bourgeons de l’année précédente pour ne garder que quelques rameaux et optimiser la fructification. Bref, ça c’est la théorie. En pratique, devant un pied de vigne et avec un sécateur en main, on se pose des questions. Heureusement les amis étaient là pour nous aiguiller. Garder les pousses qui semblent les plus vigoureuses, qui poussent vers le haut… pour se retrouver avec quatre yeux.
A nos sécateurs. Alors, oui, le sécateur n’est pas à mettre, sans risque, entre les mains des enfants. Mais l’ainée (7 ans et demi) a pu s’essayer à la taille de la vigne. Elle nous a aidé en coupant les longueurs des rameaux, avant notre passage et la sélection des bourgeons.
Rendez-vous cet automne pour les vendanges. Avez-vous déjà eu l’occasion de tailler la vigne ou participer aux vendanges ?
C’était ma participation au rendez-vous L’enfant et la nature.
Cécé from Aix 
Coucou,
J’avoue que je n’ai jamais eu cette chance.
Nous avons 7 vignes que nous taillons au mieux, je dirai 😉
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Si le rendement n’est pas ta priorité, la taille n’est peut-être pas nécessaire. Chez nos amis, la vigne est une activité complémentaire, ils revendent le raisin à la coopérative.
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